Xénogreffes et amélioration de la compatibilité des organes animaux avec l’homme

Christian BYK, Secrétaire général de l’Association internationale droit, éthique et science, Président du Comité d’éthique des sciences de la Commission nationale française pour l’UNESCO.

Ce qui vaut pour un prélèvement effectué dans le cadre d’un devoir de solidarité entre hommes, peut-il également servir d’argument à l’appui d’une transplantation de l’animal vers l’homme ? Peut-il exister une solidarité entre espèces et, si oui, comment en justifier le « déséquilibre » au profit de l’homme ? La question première est de déterminer quelle est la légitimité du prélèvement. Mais il convient de ne pas oublier la perspective de l’homme, fût-elle poussée dans son absolu, en se demandant si la greffe, au regard du respect de la dignité et de l’identité humaines est, elle aussi, légitime.

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