Amandine Cayol

Spécialisée en droit des contrats (cf. Le droit des contrats en tableaux, Ellipses, nov. 2017), droit de la responsabilité civile (cf. Le droit de la responsabilité civile en tableaux, coécrit avec R. Bigot, à paraître en 2021), droit des assurances (cf. Le droit des assurances en tableaux, Ellipses, oct. 2020, codirigé avec R. Bigot) et droit des biens (cf. Le droit des biens en tableaux, Ellipses, juil. 2019), Amandine Cayol axe désormais principalement ses recherches autour de la question du statut juridique du corps humain.

Elle s’intéresse à ce titre aux contrats portant sur le corps humain (contrat médical, convention de gestation pour autrui, etc.), mais aussi à l’émergence d’un corps de règles propres au dommage corporel en droit de la responsabilité civile, au statut juridique de l’être humain avant la naissance et après la mort, et à la question d’une possible reconnaissance d’un droit de propriété de la personne sur son propre corps (avec, notamment, l’organisation à Caen en 2016 d’un colloque sur « Le corps humain saisi par le droit, entre liberté et propriété » avec Aurore Catherine, Cahiers de la recherche sur les droits fondamentaux, PUC, n°15, 2017).

Ses travaux l’ont amenée à s’intéresser au transhumanisme. Elle fait ainsi partie de l’atelier sur « L’homme en transformation » du GDR NoST et porte avec Emilie Gaillard, depuis le 1er mars 2019, un projet de recherche « Transhumanisme(s) et droit(s) » cofinancé par le GIP Mission de recherche Droit et Justice (direction d’une équipe de 14 chercheurs en droit, sociologie et philosophie). Ses travaux portent également sur la e-santé: elle dirige notamment depuis novembre 2020 un projet de recherche pluridisciplinaire sur « les enjeux du développement de la télémédecine en Normandie », financé à 100% par des fonds FEDET sur 24 mois (encadrement d’une équipe de 25 spécialistes en droit, éthique, sociologie, philosophie, psychologie, géographie et sciences de gestion).

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